• Auschwitz, the meaning of pain
    The way that I want you to die
    Slow death, immense decay
    Showers that cleanse you of your life
    Forced in
    Like cattle
    You run
    Stripped of
    Your lifes worth
    Human mice, for the angel of death
    Four hundred thousand more to die
    Angel of death
    Monarch to the kingdom of the dead
    Sadistic, surgeon of demise
    Sadist of the noblest blood

    Destroying, without mercy
    To benefit the aryan race

    Surgery, with no anesthesia
    Fell the knife pierce you intensely
    Inferior, no use to mankind
    Strapped down screaming out to die
    Angel of death
    Monarch to the kingdom of the dead
    Infamous butcher,
    Angel of death

    Pumped with fluid, inside your brain
    Pressure in your skull begins pushing through your eyes
    Burning flesh, drips away
    Test of heat burns your skin, your mind starts to boil
    Frigid cold, cracks your limbs
    How long can you last
    In this frozen water burial?
    Sewn together, joining heads
    Just a matter of time
    til you rip yourselves apart
    Millions laid out in their
    Crowded tombs
    Sickening ways to achieve
    The holocaust
    Seas of blood, bury life
    Smell your death as it burns
    Deep inside of you
    Abacinate, eyes that bleed
    Praying for the end of
    Your wide awake nightmare
    Wings of pain, reach out for you
    His face of death staring down,
    Your blood running cold
    Injecting cells, dying eyes
    Feeding on the screams of
    The mutants hes creating
    Pathetic harmless victims
    Left to die
    Rancid angel of death
    Flying free

    (leads: hanneman, king, hanneman, king, hanneman)

    [ angel of death
    Monarch to the kingdom of the dead
    Infamous butcher,
    Angel of death

    Angel of death]

    votre commentaire

  •     La pauvreté dans le monde tue des milliers d'enfants chaque année. On préfère investir des milliards dans l'armée pour faire la guerre.

    Toutes les huits secondes
    Un enfant crève au tiers-monde
    Parce qu'y a pas accès à l'eau
    Et on dit qu'dans son pays chaud
    C'est l'soleil qui assèche les ruisseaux

    Quand on sait qu'une toute petite fraction
    De tous ces budgets militaires à la con
    Pourraient abreuver les humains
    Leur assurer un lendemain
    Mais l'Occident s'en lave encore les mains

    Alors que toutes les huit secondes
    Se génèrent des profits immondes
    Chez les grandes multinationales
    Qui croient que l'droit fondamental
    D'accès à l'eau doit devenir commercial

    Aujourd'hui la source est cotée en bourse
    Et on se calice ben d'la ressource
    On nous dit qu'c'est inépuisable
    Pas besoin de gestion viable
    Y'a un signe de piastre au bout de l'eau potable

    Pendant qu'les rivières coulent à flots
    Certains font de l'argent comme de l'eau
    Sans se soucier des écosystèmes
    C'est ben plate à dire mais ça a l'air
    Qu'c'est ça l'noeud du problème!
    Hey!

    Toutes les huit secondes
    Un nouveau cancer qui nous ronge
    Eau qui devient marchandise
    De l'aqueducs qu'on privatise
    Et gouvernements complices qui improvisent

    À Montréal dans les souterrains
    Ils pompent l'eau qui nous appartient
    Payent des peanuts pour le produit
    Et comme ils ont le monopole
    Font plus de profits qu'les compagnies d'pétrole

    Toutes les huit secondes
    Je ressens un peu plus de honte
    Face à cette surexploitation
    Et à cette triste destruction
    D'la nature pour la consommation

    On nous met d'vant les faits accomplis
    Ils jouent la terre au Monopoly
    Quand ils se s'ront approprié
    Les nuages, les oiseaux, les glaciers
    P't'être qu'y en auront assez

    Pendant qu'les rivières coulent à flots
    Certains font de l'argent comme de l'eau
    Sans se soucier des écosystèmes
    C'est ben plate à dire mais ça a l'air
    Qu'c'est ça l'noeud du problème!
    Hey!

    Quand il ne restera que huit secondes
    Avant la fin de ce monde
    On r'pensera au genre humain
    Qui à cause de l'appât du gain
    Aura amené la planète au bord du ravin
    Quand il restera que huit secondes...

    Hey!

    Toutes les huit secondes
    Encore plus de colère qui monte
    Quand je vois mon grand pays d'eau
    Être mis à sac par des salauds
    Qui s'foutent d'la vie assis dans leur tour à bureau

    Dans ce Québec de forêts et d'or bleu
    Ces richesses doivent devenir des enjeux
    Bottons les fesses des décideurs
    Et devenons des précurseurs
    Citoyens! L'avenir commence astheure!!


    votre commentaire

  •     Une chanson qui décrit bien le passage de l'enfance à l'âge adulte et qui rapelle des souvenirs. Ou l'on vivait sans problèmes, sans se soucier de travailler ou de payer les comptes.

    Si je m'arrête un instant
    Pour te parler de ma vie
    Juste comme ça tranquillement
    Dans un bar rue St-Denis
    J'te raconterai les souvenirs
    Bien gravés dans ma mémoire
    De cette époque où vieillir
    Était encore bien illusoire
    Quand j'agaçais les p'tites filles
    Pas loin des balançoires
    Et que mon sac de billes
    Devenait un vrai trésor
    Et ces hivers enneigés
    À construire des igloos
    Et rentrer les pieds g'lés
    Juste à temps pour Passe-Partout

    Mais au bout du ch'min dis-moi c'qui va rester
    De la p'tite école et d'la cour de récré?
    Quand les avions en papier ne partent plus au vent
    On se dit que l'bon temps passe finalement...
    ... comme une étoile filante

    Si je m'arrête un instant
    Pour te parler de la vie
    Je constate que bien souvent
    On choisit pas mais on subit
    Et que les rêves des ti-culs
    S'évanouissent ou se refoulent
    Dans cette réalité crue
    Qui nous embarque dans le moule
    La trentaine, la bedaine
    Les morveux, l'hypothèque
    Les bonheurs et les peines
    Les bons coups et les échecs
    Travailler, faire d'son mieux
    En arracher, s'en sortir
    Et espérer être heureux
    Un peu avant de mourir

    Mais au bout du ch'min dis-moi c'qui va rester
    De notre p'tit passage dans ce monde effréné?
    Après avoir existé pour gagner du temps
    On s'dira que que l'on était finalement...
    ... que des étoiles filantes

    Si je m'arrête un instant
    Pour te parler de la vie
    Juste comme ça tranquillement
    Pas loin du Carré St-Louis
    C'est qu'avec toi je suis bien
    Et que j'ai pu' l'goût de m'en faire
    Parce que tsé voir trop loin
    C'pas mieux que r'garder en arrière
    Malgré les vieilles amertumes
    Et les amours qui passent
    Les chums qu'on perd dans' brume
    Et les idéaux qui se cassent
    La vie s'accroche et renaît
    Comme les printemps reviennent
    Dans une bouffée d'air frais
    Qui apaise les coeurs en peine

    Ça fait que si à' soir t'as envie de rester
    Avec moi, la nuit est douce on peut marcher
    Et même si on sait ben que tout dure rien qu'un temps
    J'aimerai ça que tu sois pour un moment...
    ... mon étoile filante

    Mais au bout du ch'min dis-moi c'qui va rester...
    Mais au bout du ch'min dis-moi c'qui va rester...
    ... Que des étoiles filantes


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique