• Manifeste pour un Québec cohérent

    J'écris ce soir, après un long moment d'abscence, pour me vider le coeur et vous faire part de ma situation familiale qui touche bon nombre de couples québécois qui ont choisi de vivre en union libre. De mon côté, j'ai un enfant, mon conjoints en à trois et nous en avons un ensemble. C'est rare de nos jours vous direz, oui, et je comprend maintenant pourquoi. Mon conjoint pait un pension qui équivaut à 50% de son salaire net, de mon coté, je n'ai aucun revenu car je reste à la maison avec notre fils de 7 mois, nous n'avons pas encore de garderie à 7 $ et pas les moyens pour une à 20 $. Mon conjoint fait donc vivre 2 adultes et 2 enfants, plus 3 autres une journée par semaine avec son salaire qui n'est pas beaucoup plus élevé que le salaire minimum. En enlevant la pension alimentaire, il n'équivaut même pas au salaire minimum ni à l'aide sociale. Ils me coupent aussi les allocations de mon fils dont je ne reçois aucune pension alimentaire. Le gouvernement ne veut pas compenser pour équivaloir à l'aide sociale car elle ne tient pas compte de la pension. Pourquoi se fendre le cul à travailler quand ça donne rien, c'est juste pire. En plus il faut payer le dentiste, les lunettes, les médicaments, l'aide juridique... Ils ne tiennent pas compte de moi, mon fils et notre fils dans le calcul de la pension et demandent le maximum. L'ex conjointe a un nouveau conjoint qui fait de bon salaire, elle habite dans sa maison, envoit ses enfants dans une école privée, à une voiture. Nous on a les moyens d'avoir rien de cela. L'aide sociale considere que mon conjoint doit me faire vivre, la pension alimentaire non.

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